Comment tirer parti des savoirs faire traditionnels pour créer un nouveau storytelling autour des vêtements made in Africa ? Quelles actions prioritaires pour permettre aux designers africains de s’exporter mieux, plus largement et rapidement? Comment protéger les créations africaines, et quels sont les enjeux en termes de propriété intellectuelles et industrielles ? Energie, parcs industriels textiles, routes d’exports, systèmes logistiques – A quels projets d’infrastructures faut-il donner la priorité pour faire avancer l’industrie textile ? Faut-il développer des systèmes de certification africains en plus d’aider les producteurs de matières premières, de vêtements, de cosmétiques et d’accessoires à remplir les critères internationaux? Comment protéger l’industrie textile africaine et l’aider à se structurer ? Quelles initiatives, comme l’incubateur African Mosaique lancé par l’ancien mannequin Anna Getaneh en Ethiopie qui propose aux jeunes designers des formations gratuites pour les aider à mieux produire, méritent-elles d’être répliquées ailleurs sur le continent ?
Merci à tous ceux qui nous ont rejoint hier pour une journée riches en débats et en propositions ! Et merci aux parties associées au projet – l’Organisation internationale de la Francophonie, des institutions financières de renom, telles que la Trade and Development Bank, la Banque africaine de développement, le fonds Africa50, et l’Afreximbank, ainsi que plusieurs opérateurs privés, et notamment l’Office Chérifien des Phosphates, AeTrade, le groupe égyptien Cleopatra ou encore la fédération africaine de la mode – pour leur soutien dans l’organisation de cet événement.